
victor rouget
musicien ( piano / claviers / synthés )
Après 10 années de conservatoire à Paris avec Andréa Corazziari, Victor explore l’improvisation et découvre les musiques actuelles au sein de différents groupes (Disco Mojo Club, Chocolate Station, In Lusio …).
En parallèle il apprend les bases de la MAO, découvre la synthèse sonore, et développe un attrait pour les « musiques de phases » en étudiant la composition de Steve Reich, le trad français ou la Dub au sein de son groupe Claude Sourire.
Il est investit aujourd’hui dans divers projets, allant du Nouveau-Trad avec le groupe Feuze à la Disco-Dub participative de Claude Sourire, la Dungeon-Pop avec Sourire Moyen ou encore son solo Panio Pianer, qui tisse des liens entre la musique contemporaine (Bartok, Steve Reich), la musique du 20e de Maurice Ravel et la chanson française.

antoine brochin
architecte, musicien, Haute-Corrèze
Antoine s’est formé à l’architecture à l’école de Versailles puis à La Cambre à Bruxelles, avec un intérêt tout particulier pour la construction d’espaces de vie à petite échelle. En parallèle, il pratique intensément la musique et s’investit dans différents lieux collectifs et associatifs
en banlieue parisienne. Ces lieux collectifs sont pour lui un moyen d’expérimenter de nouvelles formes d’habiter ainsi que des méthodologies de travail collaboratif, il en fera d’ailleurs le sujet de son diplôme sous la forme d’un livre et d’une performance présenté à l’espace Vanderborgt à Bruxelles.
à la suite de sa formation, il se lance dans la conception et réalisation de petit projet d’aménagement, appartement, maison autonome, théâtre de poche, meubles, scénographie…
De nature profondément curieuse, il se lance aujourd’hui dans la musique, une passion d’enfance nourrie désormais par ces apprentissages précédents, ce qui se traduit par une sensibilité particulière aux espaces et profondeurs sonores.
Il fonde en 2022 le collectif Bruit Bâton qui expérimente sous forme d’événement public, la diffusion de musique immersive sur 16 hauts parleurs répartis dans l’espace. Il joue également dans différents groupes de musique expérimentale. Sa sensibilité pour l’espace l’emmène à pratiquer l’improvisation sous toutes ses formes en jouant avec les particularités des lieux et les objets présents sur place, développant ainsi un certain goût pour l’in
situ.

sophie farza
Après une formation au sein des Beaux Arts de Toulouse, Sophie Farza poursuit ses études à l’Institut Supérieur des Arts et des Chorégraphies de Bruxelles pour lier sa pratique plastique au corps et au mouvement. Son travail procède entre l’image photographique argentique et la céramique dans des espaces au bord de la scène; œuvrant avec des objets qui se portent, se soulèvent, s’effacent. Un jeu entre la matière et le son qui se met en résonance à travers la performance.

laure vidal
Comédienne, encore un peu architecte,
Laure se crée son chemin au croisement de ces deux disciplines.
Elle aime le sol des villes, les lieux délaissés, l’intérieur des trains, elle aime les pianos dans les gares et
les cartes de toutes les tailles, de toutes matières et de toute formes. Elle tend l’oreille aux histoires
invisibles et elle écoute les prophètes des rues, elle dessine des paysages à la craie…
De ses débuts sur les planches encore adolescente à sa formation d’architecte, de ses premiers ateliers
d’impro à son installation dans le Berry, de son engagement dans Terminus Partout avec ses créations
collectives titanesques aux formations théâtrales professionnelles, elle se crée ses armes et attise son feu,
son envie de jouer, son envie d’explorer, son envie de créer de petits morceaux d’espoir.

mia mathilde garcia
Marionnettiste plasticienne et performeuse
Après une licence en Humanités et Arts du Spectacle et des premières créations marionnettiques autodidactes, elle intègre en 2020 le Master belge en Arts de la marionnette à Arts², où elle développe Le Vivarium de Souvenirs. En 2022, elle poursuit ses recherches à la Haute École de Figuren Theater de Stuttgart, s’ouvrant à des formes performatives et expérimentales.
En parallèle, elle collabore avec le cinéma en tant qu’accessoiriste, costumière et décoratrice pour des courts-métrages indépendants, et réalise des marionnettes, masques et prothèses au sein du collectif Les Ateliers Cyborgs. Elle rencontre les membres de son collectif Terminus Partout dans le réseau squat du 93. Ensemble, ils co-organisent de nombreux événements et spectacles pluridisciplinaires, nourrissant son goût pour les collaborations artistiques et l’exploration collective.
Elle explore les multiples facettes du théâtre de figures, mêlant tradition et expérimentations contemporaines. Fascinée par les « figures de silence » et les présences fragiles entre vie et mort, elle crée des personnages somnambules et des objets hybrides : entre jouet et fétiche, quotidien et rituel. Inspirée par l’art brut et naïf, elle s’attache aux matières marquées par le temps.

ophélie lavoisier
clowne, trapéziste et trompettiste
Formée jeune en école de musique à la trompette, elle rencontre la comédie et le cirque tout en obtenant une double licence d’Allemand Lettres en 2016, délivrée par La Sorbonne Paris IV et la Friedrich Wilhelm Universität de Bonn. Elle se forme à différentes techniques corporelles dès 2017 : le trapèze fixe devient vite sa spécialité et le cirque son point d’ancrage. Elle se forme tout en voyageant en Europe et au moyen orient.
Ce parcours circassien la mène à l’école de clown Le Samovar dont elle intègre la formation professionnelle en 2019. Elle y obtient son diplôme d’Artiste Clown sous la direction de Sky De Sela qui voit apparaître la clowne Bidon. En parallèle, elle étudie le Body Mind Centering, la danse classique et la danse africaine, le chant, et le jazz au conservatoire de Bagnolet. A l’issu de sa formation, elle produit son solo de clown La truite de Schubert en femme majeure avec Facundo Diab, metteur en scène qui l’accompagne dans ses projets. Elle co crée avec ses collègues de promo un collectif de clowns : le Follectik, ainsi qu’un collectif de spectacles queerféministe pour Aurillac : Pistache Bitume. En 2023, elle se lance dans le rap sous le nom de Bonnie D. Plume affûtée et coeur engagé, elle créé un deuxième spectacle / concert de rap clownesque en 2025 : Bonnie D.

swan gautier
Comédienne, danseuse et performeuse
Elle grandit à Clermont-ferrand et adolescente elle suit des cours de théâtre, de danse et de cirque, ainsi qu’une spécialité en cinéma au lycée. Elle s’engouffre ensuite dans des études d’art plastique en entrant aux beaux arts de Toulouse. Elle y développe une appétence pour la théorie, la photo et la vidéo et commence à écrire des performances participatives.
Elle retourne vers le théâtre avec la formation du Théâtre du Ring, puis vers la danse en s’installant en Belgique pour suivre le cursus de l’ISAC, Art et
Chorégraphie au sein de l’Académie des Beaux art de Bruxelles. Elle participe alors en tant que
performeuse à des créations ou de des laboratoires de différents artistes : Fabian Barba, Flora Bouteille,la Cie le Zerep, la Cie véhiculo Longo …
En 2018, elle axe sa recherche sur la création en Espace public et participe à plusieurs initiatives
collectives avec Il Lampioni, projet Erasmus+ en France, Italie et Belgique ; Les Rencontres poétiques en 2019: laboratoire et rencontres artistiques rurales et Les marches en 2020: un projet de création in situ, itinérant et pédestre;.
à partir de 2020 elle donne des stages d’interventions en espace public en France et en Belgique et puis des ateliers de danse et de théâtre auprès des enfants.
Elle co-créee en 2019 La Compagnie des Châteaux en Espagne et par la suite L’archipel de la Sauvague, collectif transdisciplinaire implanté dans le Haut-Berry. Avec ces structures et avec différents membres du collectif, elle monte une première création, Trêve (2019) puis Les montagnes se déplacent toutes seules (2023) et L’île situe (2021) , un laboratoire de recherche documentaire par les arts vivants. Elle amorce en ce moment la création de son premier seule en scène, qui prend la forme d’un concert
spectacle : Allumette.
à partir de 2023 , elle commence également à travailler en tant danseuse et comédienne avec la cie D’art D’art, le Parti Collectif, la cie Formosae et la cie Vehiculo Longo.

lisa di giovanni
plasticienne, réalisatrice, performeuse
Lisa Di Giovanni est artiste plasticienne, réalisatrice et performeuse. Elle vit aujourd’hui à Lacelle, enCorrèze. Elle a étudié à l’école de cinéma d’animation d’Angoulême, puis aux Beaux-Arts de Poitiers dont elle est diplômée depuis 2021. Ses œuvres s’articulent autour d’un noyau commun ; celui du récit, guidé autant par une observation précise du réel que par une culture de l’imaginaire et du fantastique. Œuvrant
autant seule qu’au sein de collectifs d’arts plastiques, de spectacle vivant et de géographie, son champ d’action s’étend principalement en Nouvelle-Aquitaine.

antonia sebbagh
circassienne, performeuse et tatoueuse
Elle découvre les arts du cirque via le spectacle de rue à l’âge de 14 ans, expérience fondatrice d’un attachement pour l’expérimentation en espace public. En 2018 elle part en Polynésie Française pour se former au tatouage traditionnel Marquisien et à la gravure sur os, chez Purotu Tattoo. De retour en France elle intègre en tant que co-directrice le collectif d’arts vivants l’Archipel de la Sauvague où elle travaille sur des projets comme ‘Ile Situe”. En parallèle, elle intègre l’école de cirque INAC (2022-2025) où elle se spécialise en aérien et en funambulisme (fil mou). Aujourd’hui, elle cherche à broder des histoire de risque en douceur, en mêlant son intérêt pour le théâtre d’objets à ses recherches de corporalités, dans les espaces liminaires qui bordent les pratiques.

malo bisson
musicien
Musicien autodidacte, il explore divers instruments et s’initie aux techniques de composition baroque avant de se tourner vers la musique concrète, qu’il approfondit sous la direction de Denis Dufour au CNSM de Paris. Actif au sein de plusieurs collectifs artistiques (DSXL, Archipel de la Sauvague, La Virevolte), il contribue à des projets mêlant lieu de création, événementiel, recherche musicale et spectacle vivant. Aujourd’hui, ses orientations musicales se concrétisent à travers le projet Six Carré, axé sur la musique électroacoustique et l’improvisation avec Antoine Brochin, et le duo de chansons polyphoniques Près du Sable avec Élodie Blume. Il se consacre également à la création sonore pour divers projets dans les domaines du spectacle vivant et du cinéma. Le reste du temps, il dort parce que tout ça fait beaucoup.

coline genevrier
plasticienne, musicienne, performeuse,
Artiste narratrice, Coline partage ses récits par la performance, la vidéo et la musique.
Aux carrefours et embouteillages de la comédies musicale, du ciné-concert et des PNJ de jeux vidéos, elle emprunte le périphérique du personnage pour mener une recherche sur la portée sociale du vocabulaire du
spectacle.
Elle installe ses fictions dans l’espace public sur de longs temps de jeux afin que différentes histoires se rencontrent. Sa pratique inclue de nombreux temps d’ateliers collectifs, où faire et raconter se côtoient et permettent de dérouler des récits à plusieurs bouches et mains.
En 2022, elle crée l’association Portes d’entrée afin de réhabiliter des personnages abandonnés dans l’espace public.
en 2025 elle sort son premier spectacle solo, Lovni porthole, un conte électronique.
Son travail s’inscrit dans différents collectifs:
le collectif Acte, collectif d’artistes platsiciennxs baséxs en Nouvelle-Aquitaine et principalement à
Poitiers, L’archipel de la Sauvague, avec notamment le projet collectif de l’Île situe
et le duo Dannie Distille avec Lisa Di Giovanni.

alix crichton
Alix Crichton a suivi le collectif depuis sa naissance jusqu’à sa professionnalisation. La qualité artistique des projets et les valeurs du collectif lui donnent envie de partager ces compétences de gestion des organisations pour soutenir le développement de Terminus Partout en tant qu’administratrice.
Durant son parcours, Alix a travaillé à l’international pour aider à la structuration et au développement d’entreprises du secteur privé. En 2022, elle décide de continuer l’aventure en indépendance, pour accompagner le développement de projets culturels et sociaux avec la structure Bien Perché. Elle aborde notamment les sujets d’inclusivité dans divers secteurs d’activité. En 2024, elle se forme à l’intelligence émotionnelle afin de favoriser l’inclusion sociale dans les organisations.


